Bio :
Ancien élève de Sciences Po et titulaire d’une maîtrise de droit social, Gilles Finchelstein a été le conseiller de Pierre Mauroy, lorsque celui-ci était Premier secrétaire du Parti socialiste et président de l’Internationale socialiste, puis conseiller technique dans des cabinets ministériels du gouvernement de Lionel Jospin. Il a été conseiller chargé des questions politiques, des relations parlementaires et du suivi de l’opinion de Dominique Strauss-Kahn, ministre de l’Economie et des Finances, de 1997 à 2000, puis conseiller chargé des questions politiques de Pierre Moscovici, ministre des Affaires européennes, de 2000 à 2002.
Auteur de Le monde d’après, une crise sans précédent (avec Matthieu Pigasse, Plon, 2009), Prix La Tribune et HEC du meilleur livre économique et Prix de l’Essai de L’Express, il a également publié La dictature de l’urgence (Fayard, 2011 ; Pluriel, 2013) et Piège d’identité. Réflexions (inquiètes) sur la gauche, la droite et la démocratie (Fayard, 2016).
Il a contribué à différentes revues, notamment : « 18 leçons sur l’élection présidentielle » (Revue politique et parlementaire, 2013), « Réflexions sur la crise du politique » (Le Débat, 2015), « Médias, politique : trouver le bon rythme » (Revue Projet, décembre 2016) et « Post Mortem, raison et déraison du débat sur la déchéance de la nationalité » (Revue Pouvoirs, 2017).
Auteur de Le monde d’après, une crise sans précédent (avec Matthieu Pigasse, Plon, 2009), Prix La Tribune et HEC du meilleur livre économique et Prix de l’Essai de L’Express, il a également publié La dictature de l’urgence (Fayard, 2011 ; Pluriel, 2013) et Piège d’identité. Réflexions (inquiètes) sur la gauche, la droite et la démocratie (Fayard, 2016).
Il a contribué à différentes revues, notamment : « 18 leçons sur l’élection présidentielle » (Revue politique et parlementaire, 2013), « Réflexions sur la crise du politique » (Le Débat, 2015), « Médias, politique : trouver le bon rythme » (Revue Projet, décembre 2016) et « Post Mortem, raison et déraison du débat sur la déchéance de la nationalité » (Revue Pouvoirs, 2017).