Au-delà des échecs : quelles perspectives pour la gauche en Amérique latine ?

Alors que la gauche latino-américaine vit des heures difficiles, dans les urnes et au gouvernement, la Fondation a accueilli pour en débattre deux fins connaisseurs de la région – Carlos Ominami et Jean Mendelson – lors d’une rencontre publique de l’Observatoire de l’Amérique latine animée par Jean-Jacques Kourliandsky.

La défaite récente du candidat soutenu par la gauche à la dernière élection présidentielle au Chili constitue un nouvel échec pour la gauche en Amérique latine. Si la gauche est multiple en Amérique latine, tant dans ses orientations idéologiques que dans ses pratiques du pouvoir, elle subit dans son ensemble depuis plusieurs années – l’Uruguay faisant exception – de nombreux revers électoraux (Argentine, Chili, Honduras – dans des conditions très contestables), mais aussi le « coup d’État constitutionnel » au Brésil, ou encore les grandes difficultés que rencontrent les autorités en place (Bolivie, Équateur, Venezuela). Quelles analyses et perspectives peut-on tirer de cette situation générale ?

Un débat, animé par Jean-Jacques Kourliandsky, directeur de l’Observatoire de l’Amérique latine de la Fondation, a réuni :

  • Carlos Ominami, président honoraire de Chile 21 et ancien ministre,
  • Jean Mendelson, ancien ambassadeur.

 

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